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Ahhhh, l’arrière-saison… ce moment fatidique où les réservations s’amenuisent, voire ne sont plus du tout… Ce moment qui signe la fin de la haute saison et des revenus locatifs les plus élevés.

Tout propriétaire rencontre chaque année cette fameuse saison creuse, de plus en plus creuse, et parfois de plus en plus longue… Chacun la subit, à des périodes différentes selon les territoires ou pays, selon l’attractivité de la région (milieu rural, milieu urbain…) ou encore selon la nature de l’offre (gîte, chambres d’hôtes, appart-hôtel…).

La saisonnalité est une réalité sur notre marché, mais ce n’est pas une fatalité ! En adoptant les bons réflexes, c’est aussi une opportunité de louer plus facilement quand les autres propriétaires préfèrent fermer les portes en attendant les beaux jours.

De nombreuses solutions existent pour faire de vos saisons creuses de véritables sources de revenus locatifs. Alors plutôt que d’ignorer ces opportunités, adoptez immédiatement les solutions proposées dans ce nouveau dossier et arrêtez ainsi de subir passivement ces saisons creuses…

Astuce n°1 : comment booster attractivité et rentabilité !

Rares sont les endroits où la question de l’arrière-saison ne se pose pas. Hormis les Antilles peut-être, qui attirent toute l’année des voyageurs venant de tout pays, séduits par l’exotisme de ces îles, et qui peuvent se vanter de taux d’occupation allant jusqu’à 90% à l’année. Mais, même sur ces terres plus exotiques, il est bon de se poser les bonnes questions pour éviter de subir le creux de la vague…

Se poser les bonnes questions ? C’est prendre le temps de bien définir ce qu’est réellement votre saison creuse à vous. Quelles sont les semaines les plus creuses ? les semaines moyennement creuses…?

Ressortez vos tableaux de suivi et faites l’analyse de votre taux d’occupation par mois ou semaine. Si vous avez un Channel Manager, vous allez pouvoir retirer de cet outil des statistiques très utiles pour bien définir vos saisons.

Car il n’y a pas qu’une saison haute et une saison basse. Il y a des hautes saisons, moyennes saisons, basses saisons… et le tout avec des variations nettes à l’intérieur de ces périodes.

Un des clients que nous accompagnons à l’année a fait ce travail d’analyse très précis et en ressort avec une année découpée en 14 périodes (et tarifs différents) qui varient selon différents critères :

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